Les dirigeants de la société d'étude du projet (d'ailleurs je ne vais plus citer leur nom car bonne ou mauvaise ceci leur fait de la publicité et, loin de là est mon intention). Les dirigeants de cette société d'étude du projet donc, sous traitant d'une multinationale, doivent comme toute personne qui entreprend faire des erreurs. En l'occurrence, celles qui nous concernent sont évidentes (manipulation des propriétaires, de la population ; un imbroglio de plans ; opacité de la traçabilité, quantités et qualités des déchets reçus ; non-communication des risques environnementaux directs et indirects encourus par les populations habitant à proximité...).Entendre leurs aveux pour fautes les pardonnerait qu'à moité selon le proverbe. Entre ce qui est vrai et juste, il y a une différence. Pour qu'il y ait un vrai pardon, il faut une réparation ou une peine donnée en justice. A l'heure où l'on parle de la création d'un tribunal international de l'environnement a -t-on idée des peines et indemnisations auxquelles pourraient être soumis les délinquants environnementaux